April B.Davis
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Date d'inscription : 06/09/2009
Age : 28
Toi et toi
Relation:
Raisons de ta présence:
Points d'or :
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 | | Sujet: April B. Davis Sam 12 Sep - 15:48 | |
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© Credits, Obsession
| NOM & PRÉNOM(S) : April Brooke Davis.
SURNOM(S) : A toi d'en trouver un 
LIEU & DATE DE NAISSANCE : Olympia,14 mai 1993
ÂGE : 16 ans
NATIONALITÉ : Américaine
NATURE DE TA PRESENCE : Double-Meurtre,Dépression intense.
PARTICULARITE : Je porte toujours autour du cou un coeur en quartz violet pendant à une fine chaînette en argent.
GROUPE : Adolescente. |
« Ta vie si différente.»
HISTOIRE:
J'aurais pu être une enfant comme les autres, destinée à grandir, étudier, trouver un métier, fonder une famille, avoir des enfants, puis enfin m'éteindre après avoir eu une vie bien remplie. Mais je me suis arrêtée en cours de route pour suivre un chemin absolument différent. Je suis sûre et certaine que mon destin était scellé dès ma conception. Je serai un ange et un monstre, contre la volonté de tous.
***
Mon premier cri, à la naissance, fut déchirant. Tous les humains présents furent obligés de se boucher les oreilles. Ils virent tous dans ce hurlement un premier caprice, un mécontentement apparent. Moi, je dirais plutôt qu'il s'agissait d'un appel de détresse. La peur que j'ai ressentie ce jour est encore maintenant parfois palpable. Comme si je revivais sans cesse le moment où j'étais entrée dans ce monde fait de chaos et de cupidité. Par la suite, j'ai grandi comme une petite fille normale, choyée par mes proches. Ma famille et moi habitions dans un manoir qui avait été refait deux ans avant notre arrivée, un foyer des plus agréables à vrai dire. Dès mon entrée à l'école, je fus une élève brillante. Tout le monde m'admirait, et en plus d'être intelligente j'étais d'une rare beauté, sans me vanter. Non, je ne suis pas narcissique, je vous le jure. Ainsi donc, les garçons étaient à mes pieds, il me suffisait de battre des cils une ou deux fois pour en faire fondre plus d'un. J'étais entourée d'amies exceptionnelles, peut-être n'appréciaient t-elles chez moi que ma populaire, mais je n'y faisais pas vraiment attention. Le plus important pour moi était que j'étais bien dans ma peau, cernée de toutes parts par ceux qui m'aimaient. Ma partie sentimentale mit longtemps, très longtemps, à se développer. J'avais des petits amis, mais jamais rien de sérieux, je voulais juste tester. Je n'étais pas non plus sûre qu'eux m'aimaient, ils ne sortaient avec moi certainement que par plaisir d'avoir une bombe pour copine. Et puis, une ombre s'abattit sur ce petit monde entièrement constitué de bonheur lumineux. Mon père travaillait dans une banque de renommée internationale, ce qui compensait le fait que ma mère n'avait aucun diplôme et ne pouvait donc pas exercer de métier. J'étais en troisième lorsque tout a basculé.
***
J'avais eu une ribambelle d'excellentes notes ce jour-la, et j'étais plus qu'impatiente de les montrer à mes parents. Peut-être mon paternel m'offrirait-il quelque chose pour récompenser mes efforts? Ca se passait toujours comme ça, et même si c'était un peu le truc de l'âne et de la carotte, j'aimais ça. Papa et Maman étaient absents, l'une pour faire des courses et l'autre pour travailler. En plein milieu d'un exercice de maths, je suis descendue pour boire un verre de lait. Je les ai alors vus, assis sur le canapé, l'air désemparé. M'entendant arriver, ma mère s'est levée et m'a serrée longuement dans ses bras en larmes. Je me suis doucement arrachée à son étreinte et les ai regardés à tour de rôle.
« Que se passe t-il? » ai-je murmuré, fiévreuse d'inquiétude.
Ce fut au tour de mon père de m'entourer de ses bras. C'était la première fois que je le voyais pleurer, et je ne cache pas que ça me bouleversait énormément.
« On va trouver une solution, ma chérie, ne t'inquiète pas... »
Mais que me cachait-on?! Je me suis décollée de lui, les sourcils froncés. Je sentais mon rythme cardiaque s'accélérer. Mon paternel ferma les yeux, prit une profonde inspiration puis me dit enfin ce qui se passait.
« April, la banque où je travaille a fait faillite... Nous allons devoir vendre la maison si nous voulons survivre. »
Ma bouche s'était ouverte sans que je m'en rende compte tant j'étais surprise. J'ai dégluti avec difficulté.
« Mais... Où allons-nous habiter?! » lâchai-je dans un souffle.
Mon père a détourné le regard. Je redoutais le pire.
« Ta mère et moi allons vivre chez ta grand-mère. Cependant, son appartement est vraiment petit et je doute qu'il y ait assez de place pour nous trois... Tu dois aller en pensionnat, je suis désolé. »
** Deux ans plus tard **
Mes parents ne venaient guère me voir souvent. A chaque lever de soleil, j'espérais de toutes mes forces que je les verrais. Mes notes avaient dégringolé, je me sentais tellement seule... J'avais perdu toute ma cour, ici personne n'était superficiel. Et puis, un matin, la directrice du pensionnat, Mme.Zrovak, vint me voir. La joie me transporta à l'idée qu'elle allait m'annoncer une visite de ma mère et de mon père! Mais son air grave jeta un poids sur mon coeur. Elle m'observa durant quelques minutes, puis commenca à parler.
« April, je ne vais pas y aller par quatre chemins... Ta mère est décédée ce matin. Ton père vient de m'appeler pour que je te prévienne. »
L'air se bloqua dans ma poitrine. J'ai du blanchir énormément, car la panique s'inscrivit sur le visage parcheminé de la vieille dirlo.
« Qu'est-ce qui lui est arrivé?... » ai-je articulé après avoir laissé passer un bout de temps.
Mme.Zrovak se râcla la gorge.
« Cela faisait un moment qu'elle traînait un cancer... Et... Ce qui devait arriver est arrivé. »
Je me suis reculée précipitamment avec l'air d'un lapin surprit par un renard dans son terrier.
« Un cancer?! Mais ce n'est pas possible! Ils me l'auraient dit! »
La directrice me couvait d'un regard désespéré.
« April, il faut que tu comprennes... Ils ne voulaient pas te perturber... Je suis tellement désolée pour toi. »
Du bout de l'index, elle essuya une larme qui coulait sur ma joue. J'ai tenté de m'éloigner un peu plus, mais j'étais déjà contre le mur. Mme.Zrovak s'est levée et est sortie sans un mot, décelant mon envie de solitude. C'est lorsque la porte de ma chambre s'est refermée que j'ai commencé à hurler. Encore plus fort qu'à ma naissance.
** 4 jours plus tard,à l'enterrement **
J'étais une vraie fontaine. Les larmes coulaient sur mes joues comme si je n'avais encore jamais pleuré. Lorsque les funérailles furent finies, je me suis dirigée, emplie de colère, vers mon père.
« Pourquoi tu ne m'as rien dit?! » ai-je sifflé.
Je tremblais de rage. Mon père a reculé, puis est resté immobile un moment. Il a ensuite murmuré qu'il était désolé et qu'il pensait que c'était mieux pour moi.
« Et bien tu t'es trompé!!!! » ai-je hurlé.
Et je suis partie en trombe.
** 6 mois plus tard **
Julio m'aidait considérablement à sortir de mon deuil. Déjà, quand je le voyais, toute ma tristesse s'envolait. Il me connaissait plus que n'importe qui, et savait faire taire ma peine par des baisers hypnotiques et des étreintes envoûtantes. Il était certainement l'homme de ma vie. Plusieurs fois nous nous étions juré que nous allions nous marier dès que nous le pourrions. En ce moment même, j'étais dans les vestiaires, seule, en train de découper des formes que j'avais décalquées et qui me serviraient à agrémenter les décors de Noël que j'avais été chargée de préparer. Bon, ce n'était certainement pas le lieu approprié pour un travail, mais bon, il n'y avait qu'ici où il ne régnait pas une chaleur trop étouffante. L'équipe du lycée avait pris la mauvaise habitude de mettre les radiateurs à fonds dès que la moindre petite brise froidre soufflait. J'en devenais malade! Le vide se faisait dans mon esprit tandis que je me concentrais sur ma tâche et m'évadais avec Julio. Et puis, j'ai entendu un rire féminin.
« Là au moins, nous sommes tranquilles! » dit une voix.
C'était Julio! Puis il éclata de rire. Le curiosité titillait mon esprit, et j'ai fini par me lever, sans un bruit, mes feuilles avec des motifs dans la main droite, et mes ciseaux dans la main gauche. Alors j'ai vu l'homme de ma vie en train d'embrasser une fille. Ce n'était autre que Rosaria Nelson, l'allumeuse du bahut. Une sorte de rugissement s'est échappé de ma gorge. Julio s'est retourné.
« April? Qu'est ce que tu fais ici? » a t-il soufflé après un moment d'attente.
J'ai agité les feuilles de motifs. Il hocha la tête. Je laissais défiler quelques instants.
« -Tu n'as rien a me dire, Julio? ai-je sifflé.
-Je... Je vais tout t'expli... , commenca t-il »
Rosaria posa un doigt sur la bouche de mon petit ami, le faisant taire.
« Bon écoute ma jolie, il n'a aucun compte à te rendre. Il en avait assez de toi, c'est tout. » a t-elle dit.
Elle a éclaté de rire. J'ai bandé mes muscles, ai serré les dents.
« En même temps, je le comprends, une fille aussi peu intéressante que toi... » continua Rosaria en levant les yeux au ciel avec un sourire.
Elle me regarda de nouveau, s'apprêtant à me sortir d'autres méchancetés. Et puis, son expression s'est figée, ses yeux yeux se sont écarquillés. J'ai baissé les yeux. Les ciseaux avaient percé sa poitrine, à gauche, à l'emplacement du coeur. La panique et la colère me firent perdre tout contrôle de moi-même. J'ai levé la main pour porter un nouveau coup. Julio, effrayé, tenta de me retenir. A force de me débattre, je finis par me dégager. Un mauvais préssentiment s'insinua en moi. Je me suis lentement retournée. Le garçon gisait, en sang, à côté de moi, le torse percé et tailladé de toutes parts. J'ai reculé et vu que Rosaria était elle-aussi à terre. J'ai voulu appeler à l'aide, mais c'était trop tard. Ils étaient morts.
***
Voilà comment je me suis retrouvé ici. J'ai poignardé deux personnes.
CARACTERE: Suite à ce que j'ai fait, je suis devenue très réservée. Je ne parle jamais pour ne rien dire. J'ai toujours peur de ce que je peux faire, et je n'ose pas me lier d'amitié avec les gens, de peur que tout déraille comme c'est déjà arrivé... Je peux être agressive sans raison, pas par méchanceté, mais plutôt pour empêcher les autres de se mettre en danger. Je suis restée aussi rêveuse que dans mon enfance, mais bien entendu, mes songes ne sont plus les mêmes. Aujourd'hui, ils ne sont constitués que de flash-back douloureux. Lorsque je me sens mal ou que je suis en colère, je peux devenir très blessante. Je noie mon chagrin dans des aventures sans lendemain. Mon coeur s'est glacé, il ne veut plus s'offrir aux sentiments. Parfois je perds le contrôle de moi-même, et je fais des choses que je n'aurais jamais pu faire lorsque je suis d'un tempérament serein. J'ai gardé mon intelligence, même si desfois elle devient machiavélique. Chez certaines personnes, je vois quelque chose de particulier que je ne sais définir. Ces êtres auront alors un privilège de gentillesse et de douceur de ma part. Je prends garde à ne pas laisser transparaître ce que je ressens, et lorsqu'on me pose des questions trop personnelles, je n'y réponds pas. Quelques peu sadique, il m'arrive parfois de savourer le malheur des autres. Mais ce n'est que quand ces autres sont habituellement méchants ou antipathiques avant. Gare à celui qui oserait critiquer mon physique ou ma façon de penser, j'estime que je suis comme je suis et que personne n'a le droit d'essayer de me changer. Je peux être certains jours du genre à tout calculer, alors je choisis avec application la conduite que je dois adopter avec les inconnus. Je déstabilise, je blesse, je séduis. Je suis de ceux qu'on ne sait pas comment aborder, que vous connaissez et que vous ne connaissez pas en même temps, que vous adorez et que vous détestez.
PHYSIQUE: J'ai le physique d'une sportive, bien que je n'aie jamais excellé dans ce domaine. Je suis mesure 1,76 m,c'est-à-dire que je ne suis pas petite. Je pèse 57,2 kg. Je suis très fine, mais je ne suis guère musclée! Malgré ma pauvre expérience en sport, j'ai toujours été très endurante. Je possède des cheveux châtain clair m'arrivant aux homoplates. J'en prends très soin, je trouve qu'ils font une grande partie de mon charme. Ils prennent de beaux reflets blonds au soleil. J'ai les yeux bleu-verts. Ils trahissent souvent mes émotions, alors j'évite de fixer les gens... Je porte des jeans, souvent des slims, je déteste les jupes. Il m'arrive néanmoins de porter des robes, mais ça reste très rare. J'aime les tons allant de blanc à rouge-orangé, mais je possède des vêtements bleus. Je m'attache parfois les cheveux, mais je préfère les laisser libres de leur mouvement. Mes mains sont très fines et mes ongles toujours impeccablement manucurés. Pour le maquillage, je n'en utilise jamais de très voyant. Je préfère les teintes pastel discrètes. Je mets souvent une touche de poudre sur mes joues, du gloss légèrement rosé sur mes lèvres et du mascara sur mes cils. J'aime prendre soin de ma peau, et vous n'y verrez jamais d'impuretés. Il en est de même pour ma dentition.
RAISON DE TA PRESENCE AU RANCH: Suite au meurtre de Julio et Rosaria, j'ai été évidemment classée dangereuse. De plus, je n'avais jamais été violente par le passé, alors chacun a voté pour mon expulsion immédiate du pensionnat et du lycée. Tous ont conseillé au personnel de mon nouveau foyer de me surveiller de près, ne voulant pas que j'ôte la vie une fois de plus. Je ne me pense pas capable de faire une telle chose une deuxième fois, mais sait-on jamais. Je pense que cet endroit fera du bien à mon esprit, peut-être que je finirai par être soignée de la mort de ma mère... Aussi, le ranch possède de nombreux espaces verts, et ceux-la m'ont toujours aidée à faire le vide dans ma tête. De nombreux autres éléments ont désigné ce lieu comme l'endroit idéal pour que j'apprenne à bâtir quelque chose par-dessus les restes de ce qui a été détruit par le mensonge et le deuil...
«Qui es-tu derrière ton clavier?»
PSEUDO' : Bewii
ÂGE : 14 ans (oui je triche,je vais les avoir le 20 novembre,et alors x) )
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : Par une pub sur Wild Horses 
COMMENT LE TROUVES-TU : Génial  Après,je verrai par la suite...
CONNEXION : Le mercredi après-midi,le week end,et beaucoup plus régulièrement pendant les vacances.
AVATAR : Ana Beatriz Barros
CODE :
- Spoiler:
OK { Elizabeth }
Dernière édition par April B.Davis le Mer 16 Sep - 14:40, édité 1 fois | |
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