Spotted Wisky [u-c]

«Qui es-tu?»

NOM : Spotted Wisky
SURNOM(S) :Spott ou Wisky
LIEU & DATE DE NAISSANCE : Il y a huit ans au Texas
ÂGE :8ans
RACE : Appaloosa
NATURE DE TA PRESENCE :Maltraitance, Abandon
PARTICULARITE : A les yeux bleus océans
GROUPE :Adada pouetpouet tagada le beau grand cheval XD

« Ta vie si différente.»

HISTOIRE:

Autrefois, j’étais heureux, mais cette époque me semble bien lointaine. Je vivais au Texas, mon pays natal, un magnifique pays croyez moi. Poulain, mes parents étaient adorales avec moi, étant né dans un élevage d’Appaloosa, je fus marqué comme tel à l’âge de un an. J’étais magnifique, une longue crinière blanche, des tâches noires sur mon corps musclé. Bref, j’étais un bel étalon extrêmement gentil et séduisant. Comme peut d’étalon de nos jours, je ne courrais pas après les juments, j’étais une crème avec elles, d’une grande douceur, d’une grande gentillesse. A l’âge de trois ans, une jeune fille vient me voir, elle se nommait Maelys et avait dix ans. Etant extrêmement calme et doux pour mon âge, elle fut directement charmée par mon air de poulain qui ne cherche cas joué sans cesse. Elle était néanmoins trop jeune pour moi, mais elle ne voulait rien entendre, elle m’aimait et déjà je l’aimais aussi. Elle m’emmena chez elle, son père possédait un manège assez connus mais sans plus, un beau manège familiale. Directement, la jeune demoiselle et moi furent forts proches. Comme elle était belle, comme elle était douce, dieu que je l’aimais, j’aurais tous fais pour la voir sourire. Souvent, je faisais mine de manger ses cheveux, de manger ses vêtements juste pour l’entendre rigoler, j’aimais le son de sa voix d’or. Mais voila, rien ne dure et je le sais, la vie est cruelle mais ainsi faite, la vie est destiné à nous quitter un jour ou l’autre, pour Maelys se fut trop rapidement.

La jeune fille attrapa un cancer, à chaque fois qu’elle venait me voir elle semblait de plus en plus malade, ma peine était immense. Souvent, elle pleurait contre mon encolure, ne voulant pas me quitter, moi son seul ami, moi son seul confident. Et moi, je pleurais avec elle, je ne voulais pas qu’elle me quitte, je me refusais à cette idée ! Non, elle ne devait pas s’en aller, me laisser était impossible. Mais un jour, elle ne vient plus…J’attendis, j’attendis mais rien…personne…Je n’entendis plus son rire si doux, je ne vis plus son visage si beau. Elle était partie, je l’avais compris, car la nuit de sa mort je ne pus dormir. Mon ange, reviens moi, sans toi je ne saurais vivre. Malheureusement, elle m’avait quitté, me laissant seul et triste. Plus personne ne venais me voir, je restais dans mon box à tourner en rond, je ne mangeais plus, je voulais mon ange. Un jour, le père de Maelys arriva une corde à la main, il pleurait. Pourquoi pleurait-il ? Ou allait-il m’emmener ? Mais allais-je ? Il me sort de mon box, j’étais déjà maigre à cette époque. Je monte dans le vanne, je regarde une dernière fois cet endroit qui sent l’odeur de Maelys, je sens encore ses mains caresser mon encolure et mon chanfrein, dieu que tu me manque petit ange. Une heure plus tard, le vanne se stoppe et il me sort, nous étions dans un champ, une route abandonnée. Il m’attache à un poteau, un fusil à la main, il pleut, il pleure, je pleure…J’avais compris, il voulait que je la rejoigne, il me dit que je ne peux plus vivre, que de toute façon je me laissais mourir. Oui, tue moi, ainsi, je pourrais de nouveau sentir ses mains dans ma crinière.

Malheureusement, il n’eut pas le courage de le faire, il tremblait, il pleurait et je pleurais…Mais va-y, tire…Pitié tire…Mais je le vois retourner son fusil vers lui, un bruit sourd retenti, je sursaute, il était mort. Non, pitié, réveille toi, tue moi avant je veux moi aussi la retrouver ! Je reste attaché pendant des jours sous la pluie, j’attendais que la mort vienne me chercher moi aussi mais on me trouva avant moi et cet homme mort. On essaya de me sauver, on me nourri comme ils le pouvaient, moi, je refusais de manger. On essaya de me trouver des propriétaires, mais personne ne voulais de moi et moi je ne voulais personne d’autre que Maelys. Finalement, on m’envoya ici, car je ne suis plus que l’ombre de moi-même…

CARACTERE:

Je ne suis ni violent ni agressif, je suis juste brisé comme nombreux des chevaux de ce ranch. Autrefois j’étais un étalon heureux, comblé et tellement joueur. J’adorais jouer avec Maelys, j’adorais faire semblant de lui manger sa veste et entendre son rire d’enfant résonner à mes oreilles. Je suis très attachant enfaite, j’adore les câlins, j’aime qu’on me montre que l’on tient à moi ainsi, je me sens utile. Je ne suis pas réellement peureux, mais je déteste l’eau, ne me demandez jamais de passer dans une flaque d’eau c’est peine perdue ! Voila, depuis mon abandon j’ai assez changé. Je ne déteste pas les hommes mais je ne les comprends pas, sommes-nous si dérisoire nous chevaux à leurs yeux ? Je suis à présent un étalon brisé, un regard vide et triste, une expression tellement douloureuse. Je n’ais plus gout à rien, autrefois tellement gourmand je ne suis même plus attiré par ma nourriture, je mange pour survivre sans plus. Je ne galope plus dans la prairie, je me contente de rester immobile tête baissé vers le sol, effleurant l’herbe de mes naseaux. Je n’ais plus de joie de vivre, le monde me parait étrange et fade, parfois, je me laisse mourir et il faut me nourrir par tuyau. Je n’ai plus la force de me battre, car le jour ou il m’a accroché à ce poteau, ce jour la, il a prit ma vie avec lui.

PHYSIQUE:

Je suis un étalon Appaloosa, un cheval indien comme beaucoup dise. J’ai une robe blanche tacheté magnifique, me donnant un air différent des autres. Néanmoins, se qui me rends réellement étonnant c’est mes yeux d’un bleu océan, un regard profond et triste en même temps. Un regard qui vous serre le cœur, un regard autrefois si beau, si joyeux. Je suis extrêmement maigre mais il n’en a pas été ainsi tous le temps, non loin de la. Avant, j’étais un étalon musclé et fière, un étalon au physique qui fait rêver et bien entretenu. Ma robe brillait de mille éclat, ma crinière était blanche et démêlée avec quelques crains noires bien voyant. Mais maintenant, je ne suis plus très beau à regarder. Il me manque des plaques de poiles au niveau de la groupe et du ventre, on peut sentir mes os à travers ma peau, on peut voir que je n’ai plus vécu normalement depuis bien longtemps. J’ai de fines jambes, des jambes dignes d’un étalon de dressage. Je ne suis pas fort grand mais je ne suis pas petit non plus, je suis de taille normale. J’ai un tatouage signe de ma race sur le coté droit de ma croupe, mon identité, un souvenir qui jamais ne s’effacera.

RAISON DE TA PRESENCE AU RANCH:

Je suis la pour qu’elle raison ? Simplement parce que j’ai été abandonné, plus personne ne voulais de moi et je n’en connais pas réellement la raison. Tous se que je sais, c’est que ma vie c’est écroulée le jour ou je me suis retrouvé attaché à ce poteau. J’ai tous donné aux hommes, ma confiance et même ma vie, je les aimais tellement et ils m’ont trahi. Pourquoi m’avoir abandonné sous la pluie moi qui ne voulais être que leur ami ? Je sais qu’une fois qu’on m’a retrouvé, j’étais extrêmement maigre et malade, couvert de boue simplement. Un homme essaya de me trouver des propriétaires mais personne ne voulais de moi, j’étais simplement trop vieux, trop moche étant fort maigre…Si seulement ils savaient, si seulement ils comprenaient et voyais tous se que j’ai à donner.

«Qui es-tu derrière ton clavier?»

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