Look Inside, look inside your tiny mind

Voila deux semaines que j’étais dans ce ranch à la con, franchement, je commençais légèrement à en avoir marre. Franchement, j’avais déjà envoyé deux mecs à l’hosto juste parce qu’un m’avait poussé et l’autre m’avait parlé assez froidement. J’étais de plus en plus nerveux, agressif, je n’en pouvais plus, j’avais besoin de respirer. Je marchais calmement, ne sachant pas vraiment où aller. Mais d’un coup, j’eus une brillante idée. Pourquoi ne pas aller dans le dortoir des filles ? J’aurais peut-être la chance d’en voir une courir en drap de bain, bien sûr, je m’amuserais à tirer dessus. Moi, pervers ? Non, je devais juste trouver une occupation rien de plus. Bref, je me mets en marche vers le dortoir des filles, plusieurs de celles-ci me connaissaient, d’autres étaient nouvelles. Néanmoins, mon regard et ma carrure n’inspirait pas à me chercher.

Mains dans les poches j’observe quelques nouvelles têtes quand j’entends une personne hurler après moi. Je me stoppe directement, un mauvais sourire aux lèvres se dessine sur mon visage. Elle osait me hurler après ? En plus, me traiter de gay, mais elle était folle cette petite. Je me retourne et fais face à la jeune demoiselle, très mignonne je l’avoue, mais j’allais devoir lui apprendre les bonnes manières. Je m’avance calmement vers elle, à quelques pas de celle-ci, j’accélère brusquement le pas et sors une de mes mains de mes poches. J’attrape sa gorge avec une force étonnante et la plaque contre le mûr sans douceur, mes yeux c’étaient assombri. Moi, je résous mes problèmes avec la violence et seulement la violence, je ne connaissais rien d’autre.

« Dis chérie, t’as pas envie de la fermer et de me laisser aller ou je veux…Puis, la prochaine fois que tu me gueule dessus, je te refais le portrais ! C’est claire… »

J’avais dis mes dernières paroles assez durement, je vis sa chambre et sourie froidement, pas besoin de me donner en spectacle…Tous en la gardant emprisonné, je la fais rentrer dans sa chambre en la poussant brutalement. Mais non je ne comptais pas la violer, j’étais tous sauf un violeur, moi je tuais les violeurs…ou d’autres personnes que je n’aimais pas aussi. Bref, je clape sa porte et m’appuie sur celle-ci en croisant les bras et la regardant de haut en bas. Elle avait du caractère et elle était une bonne distraction pour moi, j’avais trouvé de quoi m’amuser, elle était mon occupation du moment.

Déjà, je serrais les poings, qu’elle ose seulement me foncer dessus et elle aurait des nouvelles étonnantes. J’avais été le chef du gang « la rosa Negra », le plus redouté et violent d’Italie. Là-bas, mon nom faisait frissonner les gens, les faires baisser les yeux. Je comptais bien me faire une réputation ici, elle, elle n’était rien à mes yeux et elle n’avait pas intérêt à me chercher. J’observe sa chambre avec attention, elle était simple, nul quoi. Personnellement, j’avais déjà remodelé ma chambre à ma manière. J’avais écris sur les mûrs, j’avais tagué dessus, j’avais mis des poster. En sachant bien sur, que j’étais seul dans ma chambre ne supportant pas la compagnie.

« Tu as un gout vraiment horrible… »

Je sors alors une fiole de whisky d’une poche intérieur de ma chambre et bois un coup, une fiole que les éducateurs n’avaient pas trouvée…pas encore ! C’est qu’ils me pourchassaient ses cons, ils ne savaient pas me lâcher eux. Puis encore mieux, ils ne savaient pas me virer ou encore m’oublier ! Je repose mes yeux sur la jeune demoiselle.